Une petite annonce avant de lancer le premier stand : une nouvelle personne s'est jointe à nous, complétant l'équipe de trois personnes… J'ai nommé Aile 2 ! Donc voilà, Aile 2 est maintenant dans l'équipe bleue, avec Violette, Libellule et PtiteLu ! Voili voilou !
Donc, le 1er stand ! Comme son nom l'indique, vous allez devoir inventer un personnage ! C'est un stand "individuel", vous participez si vous voulez ! Pour participer, c'est facile : vous postez un commentaire dans lequel vous présentez de la façon que vous voulez un personnage !
Vous avez jusqu'au 28 avril pour participer, et je donnerai les résultats quelques jours après ! Le gagnant fera gagner un point à son équipe ! Comment gagner ? Une belle écriture, un personnage intéressant… surprenez-moi ! ;)
Dernier truc : je suis obligée d'activer la validation des comms pour ne pas que vous voyez les textes des autres avant d'avoir écrit le vôtre… Donc si je ne valide pas votre personnage, c'est normal ! J'essaie d'être assez présente pour valider les autres coms, mais bon… :)
Voili voilou ! Bonne chance !!
Voili voilou ! Bonne chance !!
C'était un énorme dragon, aux écailles rouges flamboyantes et aux grandes ailes écarlates, qui avait sur le corps de multiples cicatrices, preuves des nombreux combats qu'il avait enduré. Il avait de grands yeux ambrés qui inspiraient de la confiance et dans lesquels on ne pouvait s’empêcher de plonger son regard. Quand on s'approchait de lui, un étrange mais rassurant sentiment de sécurité nous enveloppait, comme un grand bouclier qui nous protégerait de tous les dangers, et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'on le surnommait "le protecteur". Il était fier et apprécié de tous, et chacun le considérait comme un grand frère. Cependant, il ne montrait jamais sa souffrance, et c'est ce défaut qui causa malheureusement sa perte...
RépondreSupprimerJe prend précieusement le questionnaire entre les mains et déchiffre en silence la première question :
RépondreSupprimerNom ?
Ma plume gratte le papier tandis que je me concentre pour mieux réfléchir.
J'ai trouvé : Hiztelneur.
Original, intéressant... Juste ce qu'il faut !
Prénom maintenant...
J'inspire profondément et ferme les yeux.
Un prénom...
Un prénom...
Elza !
Oui, c'est parfait !
J'inscris dans la première case "Elza Hiztelneur"
Age ?
Une quinzaine d'années, je pense...
Physique ?
Une grande rousse aux cheveux bouclés ! Cela ne sort pas de l'ordinaire ! Avec, plusieurs taches de rousseur sur le nez et de grands yeux bleus ! Un sourire moqueur, des pommettes bien saillantes, un nez en trompette, des sourcils détendus, des dents parfaitement blanches...
L'inspiration vient, je la sens, à coté de moi, contemplant par dessus mon épaule, l'esquisse de mon personnage, cette dénommée Elza Hiztelneur...
Caractère ?
Joyeuse ? Non... Plutôt timide et réservée, ce qui contrasterait beaucoup avec son apparence.
Situation ?
Là, je bloque. Je pose ma plume sur un coin du bureau et pose mes coudes sur la table, la tête calée entre mes mains.
Situation, situation...
Ca y est ! Ca vient !
Fille d'un homme veuf et riche, rebelle en son genre, ayant une relation amoureuse avec un homme de 20 ans. Parfait !
La fiche s'arrête là. J'ai finit...
Pourtant, je me souvient de ces quelques phrases que la prof a prononcé, quand la sonnerie à sonné, à la fin de l'heure : "Et si vous le souhaitez, devenez ce personnage pour une journée"
Alors pour ce jour, mais seulement aujourd'hui, je serais elle. Cette fille dont je ne sais rien mais qui serais moi.
Grand et musclé, il était plein de grâce. Ses yeux vert contrastaient étonnement avec ses cheveux blonds comme les blé qui étaient coupés au ras des épaules. Il avait un nez aquilin, juste parfait, et sa bouche était parfaitement proportionnée à son visage. Une cicatrice traversait son œil droit... Cela lui donnait un air déterminé et sur de lui...
RépondreSupprimerIl portait une tunique en soie rouge, sur la quelle était représenté l'emblème du royaume: un lion rugissant de couleur or. Son pantalon de cuir noir allait parfaitement avec les bottes faîtes dans la même matière et de la même couleur... Accrochée à ses épaules, une cape rouge avec l'emblème du royaume flottait au vent. Sur sa tête était posée une couronne en or ciselée, et incrustée de pierres précieuses.
Dans la main gauche, il portait un bouclier en argent, également incrusté de quelques pierres précieuses. Dans son autre main, il tenait une épée à la garde en or. Son pommeau était incrusté d'un rubis.
Il se tenait sur une colline, et le soleil se couchait, le baignant de sa lumière. Il ressemblait au héros des légendes, enveloppé de cette lumière.
Ce jeune homme était le fils du roi. Son nom: Arthur... Arthur Pendragon...
Fiche personnage: La tour Eiffel
RépondreSupprimerLa dame de fer. Cela fait plus d’un siècle qu’elle règne sur Paris. Les autres monuments sont ses sujets, les bâtiments ses serviteurs. Un mot d’elle et la ville lumière serait plongée dans l’obscurité.
Toute de gris vêtue, depuis l’instant de sa naissance jusqu’à l’heure de sa mort, elle assiste éternellement au même défilé de visiteurs qui viennent la voir, la toucher. Un de ses rêves serait que l’un d’eux s’arrête… Cela lui arrive parfois que des hommes un peu fous l’escaladent ou la descendent en trottinette en quête d’un record.
Coquette, parfois aimable, souvent gentille, elle prend rapidement en affection les jeunes gens qui admirent sa beauté.
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RépondreSupprimer*musique de fond*
Vous avez besoin d’aide? Vous vous êtes fait attaquer par des super-méchants? Et vous en avez marre?
Alors n’hésitez plus! Appelez notre SUPER-PRINCESSE!
*affichage d’une photo de la SUPER-PRINCESSE, en action (c’est à dire avec la main en l’air: comme tous les super-héro).
Physiquement, elle est grande et maigre. Elle a de longs cheveux ondulés blonds, posée en dessus, il y a son inséparable couronne.
La princesse porte une robe rose encombrante (on se demande comment elle arrive à courir avec) et derrière elle, accrochée à son habit, il y a une cape qui flotte, secouée par le vent. *
Notre héroïne s’appelle Lisa et a 14 ans. C’est une princesse. Ses parents gouvernent le royaume de Malésia qui est hanté par des méchants infernaux. Ces méchants essaient toujours de voler la couronne de Lisa et de semer le chaos dans le pays.
Notre princesse n’en pouvait plus, d’ailleurs c’est pour cette raison qu’elle a décidé de s’engager dans un club de super-héro!
Alors, parée de sa couronne (qui est aussi un super-gadjet, car sa couronne est armé d’ustensiles super-dangereux. C’est pourquoi les méchants la veulent toujours. En plus cette couronne apporte le pouvoir d’être l’héritier de Malésia), notre héroïne-princesse sauve le monde de tous les méchants!!
(Super-héroïne, c’est la passion de Lisa! D’ailleurs, on se le demande tous, que deviendrait Lisa sans méchants? Elle devrait oublier sa passion et serait bien triste, donc:
-Petit message RESERVE qu’aux méchants: continuez à être cruels, on adore notre SUPER-PRINCESSE, en action. Mais chut, ne dîtes à personne qu’on vous à transmis ce message.)
Voilà! Maintenant, dés que vous avez un problème avec des cruels, prenez votre téléphone! Appelez le; 4678!
Et oust les méchants!!
SUPER-PRINCESSE, c’est la meilleure!!!
*musique de fond; final*
Liesle :
RépondreSupprimerBonjour...
Ou bonsoir peut-être, je ne sais pas. En fait, je ne sais pas trop que dire d'autre que cela. On m'a demandé de me présenter et me décrire, alors je le fais, mais je dois avouer que je ne sais pas trop par quoi commencer. Beaucoup de choses que je ne sais pas...
Bon, allons-y... Commençons par le physique, c'est le plus simple.
Je suis une fille, au cas où. Une fille plutôt grande et mince, mais surtout affreusement moche. Ma seule fierté, c'est mes longs cheveux noirs comme le désespoirs, lisses et brillants. Mais à part ça... léger strabisme, bouche trop large, visage asymétrique, joues trop creuses et nez crochu. Peau pâle et corps maigre prostré sur un fauteuil roulant métallique.
Eh oui, cancer... Aucun rapport avec le reste, mais ça en rajoute, quand même. Et en plus, avec cette saloperie mes beaux cheveux vont bientôt tomber. Triste vie...
Bref, je digresse. Me décrire, donc...
Comme vous le voyez, j'ai une légère tendance à partir dans des délires dépressifs en permanence. Pourtant, je ne me considère pas comme à plaindre. J'ai plutôt l'impression d'être heureuse...
Bon, je n'ai pas de famille et je suis gravement malade, c'est vrai. Mais il ne me semble pas que ma vie soit réellement triste. En tous cas pas ma vie quotidienne.
Je vais probablement bientôt mourir, mais ça ne sert à rien de me languir sur mon sort, n'est-ce pas ? De toute façon c'est comme ça et je ne peux rien y changer. Ah, je ne vous avais pas dit ? Je suis une grande fataliste.
Donc voilà, je suis plutôt satisfaite de ma vie de tous les jours. Ma vie à l'hôpital...
En y réfléchissant bien, j'ai passé ma vie dans deux endroits où toute personne censée n'aurait jamais souhaité mettre les pieds : l'orphelinat et l'hôpital.
Pourtant je me suis toujours plût dans ces lieux. Je n'irais pas jusqu'à dire que je m'y suis fait des amis, vu que je suis une grande solitaire par nature –ou par principe, je ne sais pas–, mais au moins on m'y a toujours laissé tranquille avec mes bouquins, ce qui est tout ce à quoi j'aspire.
Voilà, c'est ça, en fait, mes principes de base : quiétude et littérature. Sympa non ?
Bon, je m'éloigne du sujet. À part ça, que dire... Pas grand chose, je suppose. Je ne suis pas quelqu'un de très intéressant. Une jeune fille dans la foule.... Tout ce qu'il y a de plus banal...
Bref, je vais m'arrêter là. J'espère que tout cela convient à ce que vous souhaitiez.
Adieu...
Dans un petit village perdu dans le sud, sur une place ombragée par un vieux platane, sur un banc un peu pourri, est assis un homme. Ni jeune ni vieux entre deux âges, il a une barbe roussâtre qui lui mange ses joues émaciées depuis deux ou trois mois. Ses yeux d’un gris intense, foncé, brillent sous les mèches sans couleur définie qui lui tombe sur le front. Ils reflètent beaucoup de choses, les yeux de cet homme. Beaucoup de chemin, beaucoup de peine, aussi.
RépondreSupprimerCe sont les yeux d’un marin que la mer a abîmé, usé jusqu’à l’os, brisé.
Enfant, Joan rêvait de terres inconnues et de monstres marins. Il a toujours voulu voguer, mais sous la pression familiale, il s’était constitué avocat. Pas qu’il n’aimait pas ce métier, mais il préférait le grand large aux cours d’assises.
Mais un soir, en rentrant chez lui, son client, mécontent de sa prestation, l’a violement agressé. Il est resté longtemps à l’hôpital, plus pour le besoin mental que celui physique. Puis il est parti dans une station balnéaire, un peu perdue, pour se refaire une santé, pour prendre une pause. Pour changer. Il y est bien resté quatre ou cinq ans, nostalgique de son enfance.
Il est revenu chez lui une seule fois, pour l’enterrement de sa mère. C’était la seule famille qui lui restait, son père les ayant quittés alors qu’il était tout jeune enfant. Après avoir liquidé les affaires familiales et vendu la maison, il partit sans se retourner, sur un navire, acheté avec l’argent de la maison et de l’héritage.
Et il a vogué longtemps, sillonnant les mers, toujours à la recherche d’aventures, en solitaire.
Lors d’une escale, il a rencontré Amandine, bout de soleil, et a repris la mer, mais il n’était plus seul. Et de deux, ils sont passés à trois à peu près un an plus tard, agrandissant l’équipage d’une joyeuse petite fille, Loa.
Hélas, alors qu’il était papa depuis sept ans, une tempête a fait verser le bateau. Et le lendemain, lorsqu’il s’est réveillé, échoué sur une plage, il était seul.
Et pour la première fois depuis des années, il est revenu sur le continent. Depuis la mort de sa mère. N’ayant plus rien, il a pris un train au hasard, vagabondé quelques temps, de bus en train, de train en auto-stop, parfois à pieds.
Et il a fini par échouer là, sur cette petite place, où, chaque jour, à l’heure de la sieste, il rassemble autour de lui un auditoire émerveillé pour raconter des histoires.
Des histoires magiques, qui ont bercé son enfance, qui font rêver, et qui feront rêver encore des générations après lui.
Mais son histoire à lui, il ne la raconte pas, il la garde en lui, enfouie avec ses souvenirs d’un autre temps. Peut-être pour oublier. Peut-être pas.