Vous voici sur le Côté Poèmes, la page où vous pourrez poster vos compositions en vers… ou commenter celles des autres !
Amis poètes, médicres ou talentueux, venez poster un poème ici, vous serez sûrs de recevoir un avis !
Voilà, et que vos mots fleurissent comme des plantes épanouis !
Oui, c'est déjà mieux, mais mes critiques ne changent pas trop ..
RépondreSupprimerC'est pas pour un concours c'est juste pour le plaisir… Alors pour les rimes, je ne pense pas que ce soit important, si ? À part le 4ème vers, tu vois d'autres endroits où la longueur est vraiment irrégulière ?
RépondreSupprimerPour les rimes, c'est peut être mon avis personnel alors, mais bon ..
RépondreSupprimerPour les vers, dans la dernière strophe, je trouve que sels vers sont plus dans un esprit de deux par deux, or il faut que ça fasse un ensemble, et un poème est un ensemble !
Ah bon ? Enfin, je veux dire, je ne trouve pas que ça casse l'ensemble… Toi, tu préfères les rimes croisées ?
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour tes conseils, je vais y réfléchir un peu pour l'améliorer et écrire la fin…
C'est pas que je préfère un type de rimes particulier, mais comme je l'ai dit, un poème c'est un ensemble et on peut pas faire ça normalement, je dis pas que c'est interdit, mais c'est mois beau. A part dans un certain type de poème, je pense aux sonnets.
RépondreSupprimerBen fais comme tu veux après tout.
La princesse à la robe de paillette
RépondreSupprimerElle n’oubliera jamais qui elle est,
Qui elle est vraiment…
Mais comment peut-on cacher ce qu’on ressent,
Sans rien ressentir…
Pourquoi elle rit ?
Quand elle n’en a pas envie…
Pourquoi elle sourit ?
Alors que le mal brille…
Elle s’efforce de survivre,
A ce qui la poursuit,
En enfilant son costume,
Sa robe de paillettes,
Sa seule protection…
C’est en étant celle qu’elle n’est pas,
Qu’elle survit…
Les gens la voie comme une fille,
Une fille qui n’a rien d’exceptionnelle,
Ils lui sourient,
Et elle leurs renvoie leurs sourires,
Mais ils ne savent pas son secret,
Il ne connaisse pas sa patience,
Car elle attend toujours que son conte commence,
Qu’elle devienne sa princesse,
La princesse à la robe de paillettes…
Elle s’efforce de ne pas fermer les yeux,
D’attendre celui qui la sauvera,
Mais elle les fermera,
Et s’endormira…
Mais elle attend toujours,
Et elle attendra toujours…
Celui qui la réveillera…
Son conte n’a pas encore commencé…
Mais il est loin d’être terminé…
Et voilàààà!!!
Votre avis??
Papergirl
Waw… *__* C'est tout simplement merveilleux…
Supprimer*rougit*
SupprimerMerciii!!!
Ca me fait vraiment très plaisir!!
Papergirl
Je peux m'incruster dans la discussion ? Enfin, celle de Guillaum et toi. Je ne partage pas l'avis de Guillaum. Pour moi, un poème ne doit pas forcément avoir de rimes, un poème ne doit pas forcément avoir un nombre de pieds précis. C'est libre. Et si jamais il y a des rimes, je ne trouve pas qu'il faut qu'elles soient toujours les mêmes (que des suivies, des croisées, etc...). Au contraire, varier permet d'éviter la monotonie du texte ! Prends La Fontaine, par exemple (même s'il écrit des fables) : très souvent, il variait les rimes dans un même poème !
RépondreSupprimerBref. Tout ça pour dire qu'un poème sans rimes ou sans rythme trop "carré" peut être aussi beau et poétique qu'un poème qui suit les "règles" générales.
dans une même fable*
SupprimerBon, notre discussion date d'un moment déjà, mais tu es la bienvenue ! En fait, c'était mon début du "poème pour toi" que j'avais posté pour qu'il le commente… (je l'ai supprimé pour pas gâcher le moment où je le posterais en entier) Je suis d'accord avec toi, tu as raison ! :) Mais après pour le nombre de pieds, je trouve que ça perd de son rythme quand c'est trop irrégulier…
SupprimerSalut, c'est la première fois que j'écris un poème. J'espère qu'il vous plaira un peu.
RépondreSupprimerLe voyageur
Il avance à grand pas,
Vers le nord ou le sud,
Il ne sait où il va.
Même quand le soleil devient moins rude,
Même dans le soir,
Il avance toujours,
Il avance dans le noir,
Il marche jusqu'au jour.
S'arrêtant en fin,
Il entend au loin le son d'un luth,
Reprenant son chemin dans le petit matin,
Il erre sans but.
Le monde est si grand,
Lui est si petit,
Il est attiré, pourtant,
Vers les plaines infinies.
Il bat la campagne,
Jamais solitaire,
Il s'accompagne,
Toujours de la Terre.
C'est le voyageur,
Avec son bonheur;